CÉtait Chaud ! (Fiction Partielle Écrite En Octobre 2012).
Avant de vous conter cette histoire, laissez-moi me présenter rapidement ! A 23 ans passés, je fais partie dun petit groupe musical qui anime les soirées de notre banlieue nord. Ce groupe, nous lavons constitué il y a quelques années déjà autour du prof de musique du lycée et le travail en commun aidant, nous avons fait notre trou sans jamais être remarqués par un quelconque professionnel.
Mais le succès remporté par une première série de morceaux repris et arrangés par nos soins et publiés sur la toile suffit à notre bonheur, du moins pour linstant. Les cachets recueillis lors des soirées nous permettent dacheter du matériel et des vêtements de scène. Il y a deux guitaristes basses, un percussionniste et sa petite amie chanteuse, un saxophoniste et moi qui chante également en maccompagnant à la guitare. Je passe pour lintellectuel du groupe car je suis le seul à avoir fait des études musicales que je poursuis encore actuellement.
Ce soir là, nous animions la soirée récréative dune commune de grande banlieue et il y avait pas mal de monde dans la salle et sur la piste de danse. Lambiance était bonne et tout le monde semblait bien samuser. Il est vrai que des vigiles avec des chiens avaient été embauchés pour maintenir à lécart les fauteurs de trouble qui ne manquent jamais de vouloir sinviter pour chercher la bagarre. Nous avions déjà enchainé plusieurs séries de morceaux et nous faisions une pause bienvenue pendant que la sono prenait le relai.
Je bavardais avec un des responsables de la soirée quand la fille de ce dernier est venue trouver son père pour lui demander quelque chose puis elle est restée avec nous et une autre copine qui lavait rejointe. Elles devaient avoir une vingtaine dannées.
Anna, la fille du responsable, était une grande et belle fille, environ 1.75m, de long cheveux noirs coiffés en queue de cheval très tirée en arrière, de grands yeux verts et une bouche pulpeuse.
Sa copine en était une copie presque conforme. A lieu dêtre brune, elle était blonde avec les mêmes formes sculpturales, les mêmes vêtements très ajustés qui mettaient leurs silhouette en valeur. Elles étaient belles et elles la savaient. Lorsque la danse a repris, jai pu les observer depuis le podium et elles dansaient seules ! Curieux que deux aussi belles filles naient pas de cavaliers
Puis au bout dun certain temps, je les ai perdues de vue et je ny ai plus pensé jusquà la fin de la soirée.
Dès que notre matériel a été rangé dans nos voitures respectives, nous sommes revenus dans une salle annexe pour déguster rapidement la collation qui nous était offerte. Cest là que je les ai retrouvées toutes les deux : elles faisaient le service tout en bavardant et plaisantant avec nous. Si Anna me plaisait beaucoup comme fille, elle ne semblait pas non plus indifférente vis-à-vis de moi. Jaime assez ce genre de fille à la beauté naturelle, sans artifices comme on en voit trop dans notre milieu avec cette mode de piercings et tatouages outranciers. Bref, nous avons flirté le reste du temps mais nous ne nous sommes pas éternisés. La nuit avait été longue.
Ma surprise a été totale au moment où je reprenais ma voiture sur le parking. Anna sest approchée en disant :
Je suis à pied, peux tu me déposer ?
Bien sur, dis moi où et je te conduis !
Au 7ème ciel mon coquin ! Jai envie de baiser, viens chez moi !
Moins de 10 minutes plus tard, nous entrions tous les deux dans lascenseur de son immeuble :
Direction le 7ème étage !
Elle habitait effectivement le 7ème étage.
Quand nous sommes arrivés dans son studio, toujours étroitement enlacés, je bandais comme un cerf dans mon boxer. En un rien de temps Anna est allée chercher ma bite dans mon pantalon qui était tombé sur mes chevilles. A genoux devant moi, elle me pompait le dard avec ardeur, comme si son destin en dépendait. Elle mouillait abondamment la hampe qui coulissait entre ses lèvres jusquà ce que mon pubis vienne presque au contact de sa bouche. Quand jétais ainsi, bien au fond, elle aspirait avec ses joues quelle gonflait avant de maspirer.
Après quelques minutes de ce traitement oh combien agréable, elle sest levée, a fait passer son T-shirt par-dessus sa tête et sest débarrassée de son pantalon. Elle ne portait plus quun petit soutif et un string noirs assortis. Quelle était belle ainsi à moitié nue, offerte à mes regards envieux :
Mets toi nu aussi et viens me rejoindre !
Et elle sest dirigée vers une porte qui était celle de la salle de bains. Jai entendu aussitôt le bruit de la douche ! Quelle coquine ! Elle voulait prendre une douche à deux ! Je nétais pas contre, cela allait me délasser un peu après cette nuit presque blanche qui, je le savais désormais, allait se prolonger agréablement. Quand je lai rejointe sous la douche, elle avait relevé sa queue de cheval avec une pince et leau ruisselait sur ses épaules. Elle ma tendu une éponge et un flacon de produit moussant. Je savais ce quelle voulait. Quand tout son corps a été enduit de cette mousse odorante, elle ma dit :
A toi maintenant !
Et là, elle ma enduit tout le corps de la même mousse parfumée, agaçant au passage la pointe de mes seins ou masturbant doucement ma bite toujours bandée.
Anna sest à nouveau déchainée ! Javais perdu un peu de ma superbe mais jétais toujours aussi excité ! Javais de plus en plus envie de baiser cette belle fille au corps splendide ! Elle ma de nouveau repris en bouche et lorsque mon sexe a été bien raide, elle ma couché sur le dos, la bite dressée comme un mat vers le plafond. Après mavoir couvert, elle sest enfilé la chatte sur ma queue. Face à moi, elle moffrait la vision de ses petits seins ronds qui balançaient doucement au gré de ses mouvements.
Chaque fois que jatteignais le fond de sa vulve, elle poussait de petits cris en rejetant la tête en arrière. Je me retenais de jouir trop vite pour essayer darriver en même temps quelle. Lorsque jai jeté au fond du préservatif les premières giclées de sperme, Anna est partie simultanément, exprimant sa jouissance dans un grand cri avant se saffaler sur mon torse. Nous sommes restés enlacés de cette manière de longues minutes jusquà ce que nous basculions sur le côté.
Jétais toujours dans sa chatte et si javais déjà joui une fois, je navais pas totalement débandé. Couchés sur le côté, jai repris ma baise, entrant et sortant du sexe dAnna qui se pressait contre moi de tout son corps :
Baise-moi bien ! Dès que je tai vu, jai eu envie de toi ! Je ten supplie, ne tarrête pas !
Ne tinquiète pas, je vais encore te faire jouir !
Notre jouissance a été un peu plus longue à venir mais lorsquelle a éclaté, nous avons pris un pied denfer, poussant lun et lautre des rugissements de plaisir au moment où une seconde fois, je me vidais dans le préservatif qui était bien plein.
Le jour était levé depuis longtemps lorsque je me suis réveillé. Jai cru un moment que javais rêvé mais NON, Anna était bien réelle à mes côtés. Selon ma bonne habitude, je bandais à nouveau comme un cerf. Tous les matins, ma bite est dressée tant que je suis dans la chaleur du lit. Est-ce quAnna sen est rendu compte ? Elle ma tourné le dos et a pressé ses fesses contre mon sexe, ondulant de la croupe pour bien le loger entre ses globes musclés en disant dans un souffle :
Prends-moi encore ! Viens dans ma chatte.
Elle a replié une jambe et je me suis glissé entre ses fesses pour gagner lentrée de sa vulve : Pas le temps de se couvrir, lun et lautre, nous étions pressés de baiser une nouvelle fois. Dune seule poussée je me suis glissé au fond de sa chatte toute humide qui semblait mattendre :
Ouuiiii ! Comme çà ! Vas-y ! Baise-moi à fond !
Il nétait point besoin de mencourager ! Jai entrepris une lente copulation, entrant et sortant de la chatte chaude et humide dAnna qui se caressait le clitoris dune main. Je prenais mon temps ! Javais envie de savourer une fois encore une bonne baise avec cette fille chaude comme la braise, une fille au corps délié et aux muscles puissants : elle était danseuse classique et cela se sentait à sa musculature ! Notre plaisir venait tout doucement. Chaque fois que je me collais contre les fesses dAnna pour la pénétrer le plus loin possible, elle poussait un petit cri aigu très excitant alors que ses muscles intimes trituraient le bout de ma queue !
Quelle baiseuse ! Lorsque je me suis vidé au fond de sa chatte, Anna a poussé un rugissement en jouissant, sagitant sur ma queue comme une possédée, donnant de violentes ruades pour bien me sentir ! Finalement nous nous sommes rendormis dans cette position, ma bite encore logée à lorée de sa vulve.
En milieu daprès midi nous nous sommes quittés sans rien nous promettre
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